Gràcies Sóc Yolanda Domínguez professora de francès de l'Institut d'Alcarràs.

Sóc Yolanda Domínguez professora de francès de l'Institut d'Alcarràs. Des del Departament de llengües estrangeres de l'institut hem estat treballant cartes, contes, poemes en les diferents llengües que impartim i us vull fer arribar una petita mostra dels escrits dels meus alumnes per si ho voleu compartir amb el personal sanitari o les persones ingressades i els seus familiars.

Gràcies per la vostra tasca

Molts ànims

Salutacions

Yolanda Domínguez

Professora de francès de l'INS Alcarràs

Solidarité et coopération pendant les temps du confinement Avec toute la tristesse et les nouvelles actualités auxquelles nous assistons ces derniers jours, je suis à court de mots, mais je vais essayer, je sais qu'il est difficile de rester positif au milieu de ces jours difficiles . Je jure que c'est arrivé au point où vous souriez et vous êtes toujours inquiets si ce moment malheureux va durer longtemps ou peu de temps. 

Nous ne savons plus à quoi penser et si quelque chose en vaut la peine. J’espère que ces événements, moments difficiles, jours sombres passeront le plus tôt possible. Je ne sais pas ce que j’écris, mais c'est ce que mon cœur ressent depuis un certain temps maintenant.

 Mais encore, je vais toujours rire, je serai toujours heureux, je vais toujours me fixer des objectifs et travailler dur pour eux, je vais toujours faire de beaux souvenirs. Vous voyez, la vie n'est pas toujours «en rose», elle peut être bleue et noire, même un rien blanc. Parce qu’après l'hiver, il y a toujours le printemps et l'été. Donc, quoi que vous fassiez face maintenant, sachez que vous n'êtes pas seuls. ET PENSEZ TOUJOURS: TOUT LE MEILLEUR RESTE À VENIR!

 Nadia Jarrar 4t ESO Institut d’Alcarràs

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-- Aider le voisin -- Noëlle ne connaissait pas beaucoup de ses voisins, mais il y avait une voisine avec qui elle s'arrêtait toujours pour parler lorsqu'elle la trouvée. 

Elle s'appelait Angeline et c'était une veuve âgée qui vivait seule. Angeline était une femme très active, et le fait qu'elle soit âgée ne l'empêchait pas de faire de l'exercice tous les jours dans le jardin de sa communauté. 

Mais maintenant, ils étaient tous confinés et il lui était impossible de courir. La femme avait environ 80 ans et vivait avec son chien Cheryl. Le premier jour de mise en quarantaine, elle était sortie se promener, mais Noëlle l'a remarquée et lui a demandé si elle voulait qu'elle le fasse, pour la protéger du virus. 

Elle n'était pas la seule à réaliser qu’Angéline aurait besoin d'aide ces jours-ci. En quelques heures à peine, tous les habitants de son bâtiment se sont organisés pour promener Cheryl et faire les courser pour la vieille. 

C'était la première fois que Noëlle les voyait tous ensemble, et elle était contente qu’ils s’étaient organisés pour cet acte d'empathie.

 Anaïs González 4t ESO Institut d’Alcarràs

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Solidarité et coopération pendant les temps du confinement CONTE POUR ENFANTS DE 3 - 5 ANS ETNA MALLADA COLL 3R ESO INSTITUT D’ALCARRÀS Il était une fois une très petite ville avec très peu d'habitants, il y avait au total environ six maisons: 

 La première maison vient d'une famille appelée Paco House. La deuxième maison s'appelle Casa Anita. La troisième maison s'appelle La Casita, car c'est la plus petite de la ville. La quatrième maison s'appelle Casa del Campo, car il a un grand jardin derrière. La cinquième maison s'appelle La Soñada, car c'est la plus grande de la ville. La dernière maison est appelée la Maison haute, car il a un toit au-dessus de tout. 

 Un jour, un virus est arrivé en ville, les gens avaient peur et ne savaient pas quoi faire, jusqu'à ce que la Soñadase réunisse et trouve une solution. Le lendemain, ils en ont parlé aux gens et ils ont tous accepté. Que pensez-vous de l'idée???

 L'idée dont ils ont discuté était de rester tous à la maison et que seules les personnes qui devaient aller travailler pouvaient partir, mais les enfants se sont plaints parce qu'ils ne pouvaient pas partir, alors ils sont parvenus à un accord et ont décidé qu'ils pouvaient partir une heure par jour. 

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LES VOISINS SOLIDAIRES Le mois dernier, Rosana, une vieille dame, vivait seule dans un appartement. Elle était inquiète à cause du coronavirus, car elle devait faire des courses tous les jours et, comme elle vivait dans une ville où il y avait beaucoup de monde, elle risquait d'être infectée. 

Quelques jours plus tard, Marc et Paula, ses voisins, qui travaillaient également dans un supermarché ont décidé de faire les courses de Rosana et de les laisser devant sa porte. Ainsi, Rosana a pu rester à la maison et elle n'a plus eu à craindre d'être infectée. 

Quelques jours plus tard, Paula et Marc ont découvert que Rosana était couturière et qu'elle avait toujours une machine à coudre et beaucoup de vêtements chez elle. Ces dernières semaines, elle avait fabriqué des masques pour les employés du supermarché. Ainsi, par de petits gestes, Paula, Marc et Rosana se sont entraidés et, grâce à cette pandémie, même s'ils sont séparés, des voisins qui se connaissaient à peine se sont transformés en presque une partie de la famille. 

Laia Sanjuan Sarle 3r ESO Institut d’Alcarràs

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Issoufou Hadiza

22,allée des Hortensias

25180 Alcarràs - Espagne

hadizaissou0@gmail.com

Alcarràs, le 22 avril 2020

Objet :Une lutte

Cher amis

j'espère que vous allez tous bien. Vous me manquez beaucoup, ces temps sont durs pour tous, je ne vous le fais pas dire.

Cette maladie a fait des dégâts et qui continue à en faire, mais je sais qu'il n'y a pas de problème sans solution. Être enfermé c'est ennuyeux à mourir. Mais çava. La maladie a mis une fin ou une pause à plusieurs de nos projets. Mais ce

qui est sûr c'est qu’une fois elle disparaîtra pour de bon on va rattraper le temps perdu et on ne rentrera plus à la maison si on veut,On se rend compte de bien des choses que l'on peut faire en restant à la maison, regarder les films, inventer des choses, écouter de la musique, etc...

Suivre les instructions c'est ce qu'il faut faire pour le moment.

Se protéger pour revenir en force.

Á très bientôt les amis

Hadiza Issoufousoumana

4t ESO

Institut d’Alcarràs

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Chères infirmières, Cette lettre ne sera pas une lettre comme toutes les lettres écrites de nos jours. Nous sommes dans un moment difficile, vous le savez. 

Il ne faut pas vous promettre que nous continuerons à applaudir, nous devons vous promettre que ce ne seront que des applaudissements. Si le gouvernement fait des réductions dans votre secteur, tous les applaudissements se refléteront chez les gens qui se battent pour résoudre le problème. Nous savons que vous vous mettez tous en danger et cela doit être reconnu. Nous devons vous promettre que nous serons avec vous dans les bonnes et les mauvaises situations, comme vous. 

Nous savons (ou nous devons savoir) que vous travaillez dans de mauvaises conditions en ce qui concerne le matériel de santé. Où sont les mesures de sécurité? C'est pour cette situation que nous en apprenons et que nous ne laisserons pas cela se reproduire. Maintenant, nous pouvons seulement applaudir mais je vous promets que lorsque nous pourrons sortir, la situation changera.

 Ivette Roman Ivette Roman 4t ESO Institut d’Alcarràs

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Cette lettre s'adresse à tous les infirmiers et infirmières qui font du bon travail et parce que je veux exprimer mes sentiments sur la situation que nous vivons et à quel point je suis reconnaissante d'avoir des gens comme eux dans notre société. 

Chers infirmiers et infirmières, Je voulais écrire cette lettre pour vous remercier de l'excellent travail que vous faites. Nous n'avions pas vu une situation aussi difficile comme celle-ci au cours des 100 dernières années, mais vous avez été les premières à être là pour prendre soin de nous et de notre santé. 

Malheureusement, il y a eu beaucoup de morts, mais nous sommes calmes parce que vous vous donnerez le maximum parce que vous avez des heures et des heures de travail. Mais, nous devons également voir la partie positive, en commençant par nommer le grand nombre de personnes soignées et c'est un progrès pour l'extinction du virus. Simplement, je voulais vous montrer mon admiration et ma passion pour votre travail et le gros effort que vous faites. 

Je sais que c'est très difficile et tous vos amis et votre famille vous manquent, mais pour cette raison, je veux vous donner toute la force et le courage possibles pour continuer à vous battre pour gagner cette bataille. 

Je veux vous aider à gagner la bataille et je le ferai de chez moi parce que je vais continuer dans l'isolement pour ne pas rendre votre travail plus difficile qu'il ne l'est. Merci beaucoup du fond du cœur, vous méritez les applaudissements à 20h et beaucoup plus. Câlins et bisous.

 Patricia Patrícia Ribes 4t ESO Institut d’Alcarràs

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NOUS AIDONS LES GENS En ces jours difficiles, il est très important que les gens s’entraident les uns les autres. Beaucoup de gens ont besoin d’aide. 

Les personnes qui travaillent dans les services de santé (médecins, infirmières, personnel de nettoyage) ont besoin de matériel de protection pour travailler avec et autant de gens ont élaboré des masques avec des tissus de leurs maisons.

 Beaucoup de personnes âgées ont aussi besoin d’aide parce qu’ils ne peuvent pas quitter la maison (acheter de la nourriture, aller à la pharmacie) et donc certains associations jeunes comme Lo Cau sont organisés pour aller faire l’achat et l’emmener dans les maisons de ces personnes. Les autres, les adolescents comme moi, nous ne pouvons pas sortir dans la rue, mais nous pouvons aussi montrer notre solidarité avec tous ces gens et aider les copains de classe qu'ils ont besoin d'aide. 

Ares Panabera Moreno 3r ESO Institut d’Alcarràs

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TOUT N’EST PAS MAL POUR LE COVID’19 Dans cette historie je vais parler d’une famille confinée à la maison et un autre personne qui a accepté d’accueillir les enfants.

 Tout commence dans un village de Lleida, dans une famille composée par les parents, deux sœurs plus petites et un frère plus grand. Le père travaille comme mécanicien et la mère comme infermière.

 Tous les jours fonctionnent très bien. Mais un jour les autorités, appellent les parents et leur disent : C’est interdit pour vous de rentrer à la maison pour risque de contaminer. À ce moment les sœurs et le frère restent seuls à la maison. Comme les sœurs sont très petites, le frère c’est l’unique qui peux sortir de la maison. 

Et il demande de l’aide à une personne âgée qui vit seule, pour garder à les sœurs pendant le temps où il va faire les courses ou promener le chien. Passé un temps les parents peuvent rentrer à la maison et quand ils arrivent un membre de plus de la famille apparaît. Grâce au Covid-19 tous ont gagne une nouvelle famille ! 

Alba Florensa 4t ESO Institut d’Alcarràs

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SOLIDARITÉ ET COOPÉRATION PENDANT LES TEMPS DU CONFINAMENT Avec toute cette situation d'enfermement, nous nous sentons différents parce que nous ne pouvons pas sortir de chez nous, surtout les adolescents comme moi. Nous n'avions jamais été dans une situation similaire, donc au début c'était difficile, mais après quelques jours c'est devenu plus normal. 

Je pense que ceux d'entre nous qui restent à la maison et ne sortent pas sont d'un grand soutien, et nous aidons à faire en sorte que tout cela ne soit pas pire. Enfin, je pense que les personnes qui aident, par exemple, dans mon village, il y a des hommes et des femmes qui coopèrent, qui fabriquent des masques pour tous les habitants du village, et personnellement je pense que ce sont des personnes étonnantes et très généreuses qui aident les gens à éviter le minimum de contagions et à pouvoir mieux surmonter toute cette pandémie.

 Ivonne Prunera 3r ESO Institut d’Alcarràs

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POÈME: TEMPS DE CONFINEMENT

La situation actuelle du monde

c’est très préoccupante

Toutes les personnes

et les aéroports

sont paralysés.

Cette Saint Georges,

sera plus étrange

et mélange; c’est vrai,

mais nous n’avons pas déprimé.

Tout le contraire,

nous avons animé les gens,

à être solidaires et coopérer

le maximum que nous pouvons.

Ces jours sont difficiles pour tous,

mais tout terminera un jour

et toutes les personnes pourront

se retrouver et jouir à nouveau.

Ingrid Prunera Florensa

1r Batxillerat

Institut d’Alcarràs